AMPOULE MAGAZINE
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AMPOULE MAGAZINE #2

20.00

DEUXIÈME TIRAGE DE L'AMPOULE #2

Dans ce numéro, vous retrouverez Louise Perry, attablée invétérée, dont les lectures favorites sont les menus de restaurants et dont les bouquins de table de nuit sont les ouvrages d’Ottolenghi et Jean-Baptiste Reboul. Louise Perry nous emmène chez Adeline Grattard, cheffe multi étoilée, et Chi Wah Chan, maître des thés, découvrir ou redécouvrir la boutique yam’Tcha. On embarque ensuite avec Louise pour aller explorer un mystérieux burger d’un restaurant du 10ème qui fête bientôt ses 1 an. Changement de quartier, direction le 18ème arrondissement, pour la suivre dans un univers méditerranéen où Roland Theimer est en cuisine dans ce restaurant qui a ouvert post-covid. Toujours dans les bons coups, toujours à la bonne table, Louise Perry est une guide qu’on peut suivre à l’aveugle.

Spécialiste d’une science tout autre que la gastronomie mais qui n’en est pas moins son apôtre , grand habitué des étalages et des vitrines de nos artisans de la bouffe, François Olivennes est aux bons produits ce qu’un Lagotto Romagnolo est aux truffes. Amoureux de la nourriture, de la gastronomie, mais aussi de la graille et de la bectance, François jette occasionnellement (pas tant que ça) son dévolu sur l’accompagnement liquide de ses repas. Pour cette édition, celui que de nombreux restaurateurs appellent sobrement “Professeur”, nous parle rhum. Cet alcool n'a pas la reconnaissance qu’il mérite, selon François. Nous guidant à travers le lexique et son histoire, François Olivennes nous dévoile ses adresses et références.

Maya Plichet consacre, pour cette édition, sa passion pour tout ce qui est fait de tissu et pour tout objet brillant, au Punk. Punk Is Not Dead, dit-on, mais est ce que le punk n’est pas un peu mort lorsqu’il est repris par la Fast Fashion, et que la clientèle de Zara et Brandy Melville s’y adonne ? Maya retrace l’histoire du Punk, mais nous présente aussi une super friperie inclusivement exclusive, seulement sur rendez-vous. Une expérience de slow-shopping, sans angoisse, avec un retour du contact humain dans l’équation de l’achat de sapes – gardez les yeux grands ouverts… La mode parisienne, la vraie, ne ressemble en rien à l’image qu’elle se traine depuis des années. Le mythe de l’ensemble anthracite/bleu marine/corbeau est vétuste, et Maya Plichet nous le montre bien dans son LookBook Parisien.

Nissim Drahy, au moins aussi connu que l’Hollywood Foreign Press, avec la corruption en moins et l’intégrité en plus, nous a préparé pour cette édition trois ‘vieux’ films à voir ou à revoir, un pas en avant dans notre culture des classiques du cinéma. Nissim a voulu se détacher de la critique de films récents, et nous présentera, dans une démarche de valorisation du cinéma d’avant et des salles indépendantes parisiennes qui continuent à projeter des classiques, trois grands crus du cinéma qui sont disponibles dans des salles autour de vous. Nissim mettra aussi la lumière, ou le projecteur si je ne m’abuse, sur une figure du cinéma trop méconnu, à ses yeux, du grand publique : Seijun Suzuki, réalisateur japonais devenu icône de la contre-culture.

Pierre Millet, le Midnight Mark de L’Ampoule Mag, s’est (re)penché sur le génie de Phil Spector et sa contribution au patrimoine musical, à la fin des années 60 et courant 70. À notre époque d’ultra-saturation des sorties musicales, les bacs seraient pleins à rabord si tant est qu’ils existent encore. Pierre nous rend service : devant nous s’accumule une quantité pharaonique d’heures de musique à écouter. Il nous guide au travers de ces méandres de bandes magnétiques, en sélectionnant et catégorisant des évidences musicales, nous facilitant le travail de recherche et d’écoute.

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